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Le Trait Ce club réunissant des entreprises du Trait-Yainville et ses alentours existe depuis 2016. Plusieurs projets sont sortis de terre.

METYA pour Mutualisation des Entreprises du Trait Yainville et ses Alentours. A l’initiative de ce rassemblement d’entreprises, devenu un club en septembre 2020, on retrouve Sophie Messelier, conseillère entreprises à la CCI Rouen Métropole sur le territoire du Trait, et Patrick Calais, maire de la commune. “On avait évoqué le projet de rencontres interentreprises. Il est devenu réalité il y a cinq ans”, se souvient Patrick Calais. Le 26 juin 2016 exactement. “L’objectif était de mettre des entreprises autour de la table pour qu’elles se rencontrent”. Elles ont toujours été une vingtaine pour un potentiel de 55 sur le territoire. Aussi bien des grosses que des petites entreprises. Le club est piloté par Bruno Bellet, directeur de Technip, et Ludivine Abarnou, dirigeante de la société éponyme. Les membres du club se réunissent tous les trois mois. L’objectif est de créer des synergies et de développer des services collectifs entre les différents acteurs économiques avec la formation de plusieurs groupes de travail thématiques. Le maire est présent à chaque réunion pour pouvoir, si nécessaire, apporter une réponse aux entreprises. Covoiturage, fibre, salon, lutte contre les inondations… Jeudi 17 juin, les entreprises membres de METYA se sont réunies au Trait pour dresser le bilan de ces cinq années d’échanges et de projets communs. Des projets sont en effet sortis de terre grâce à METYA. On peut citer la plateforme dédiée au covoiturage, facilitant les déplacements des salariés, et l’accès au très haut débit pour développer ou maintenir la compétitivité des entreprises grâce à la fibre. Le club a négocié directement avec le prestataire. L’organisation également d’un salon pour valoriser l’attractivité du territoire. La troisième édition aura d’ailleurs lieu le 13 octobre prochain. Les entreprises y présentent leur activité, leurs métiers avec des ateliers sur l’orientation et des conférences. “L’idée de ce salon est de faire comprendre qu’on peut travailler et vivre sur le secteur. 66 % du territoire est vert”, insiste Patrick Calais. Il y a également l’application de comité d’entreprises permettant aux salariés de bénéficier d’avantages en étant mis en relation avec l’Union commerciale du Trait. L’idée est, cette fois-ci, de faire consommer au Trait. Le club a également travaillé pour lutter contre les inondations. Le groupe de tra-vail est piloté par Séverine Courtemanche, responsable QHSE chez Technip : “C’est une problématique importante avec la proximité de la Seine et le ruissellement. Elle concerne aussi bien les grosses que les petites entreprises. Comment on s’organise lorsqu’on est confronté à ce problème ? Chez Technip, on a un système d’alerte qu’on est prêt à mettre à disposition des autres entreprises de METYA”. Un nouvel exemple de synergie.

Depuis sa création en 1992, alors connue sous l’enseigne « Établissement Olivier Abarnou », la PME d’origine familiale dispose d’une grande expérience en tant que prestataire de service en électricité industrielle, levage, instrumentation pour les moyennes et grandes entreprises issues du monde industriel. Si elle intervient sur trois niveaux : l’étude, l’installation et la maintenance, elle se spécialise dans la pose de bornes de recharge de voiture électrique. Focus.

« Nous nous situons à Yainville (76480) mais nous avons un projet de déménagement d’ici début 2020 pour nous installer sur la Zone Industrielle de Le Trait (76580) à 3 km de notre emplacement actuel, Nous sommes en train de faire construire de nouveaux locaux, »déclare Ludivine Abarnou-Hu- rel, dirigeante de la SARL Abarnou.

Le métier de maintenance est en constante évolution. Selon la dirigeante, il faut toujours être aux aguets pour pouvoir évoluer soit-même, avoir une curiosité technique aiguisée est indispensable à l’heure de l’usine 4.0. D’ailleurs, l’intégration de l’outil digital dans sa procédure d’intervention constitue un véritable atout pour Abarnou comme pour ses clients. Ludivine Abarnou – Hurel remarque à ce propos : « Cela nous à permis de réduire les délais de traitement des données en interne mais aussi en externe, en maintenance le délai est souvent le premier critère. »

La réactivité et la proximité la proximité géographique et relationnelle avec ses principaux clients sont les atouts de cette société ainsi que la fidélité dans la relation avec ses partenaires, Son but est donc de développer un vrai partenariat avec ses clients et pas uniquement le rapport client/fournisseur. Côté client, le prix reste toujours une priorité, mais parmi ses critères, figurent les compétences, la connaissance de leur site et surtout la disponibilité. Pour certains, les certifications sont des prérequis comme le Mase.

Ludivine Abarnou-Hurel explique les raisons de son adhésion à l’association Mase Normandie : « Une certification Sécurité et environnement nous semblait indispensable dans notre métier en tant que prestataire de service, l’humain est au cœur de notre métier. Nous avons choisi le Mase après être passé par lOHSAS 18001, car le Mase est connu et reconnu dans notre région et certains clients commençaient à nous en parler.» Elle ajoute : « Le bilan est très positif car nous avons répondu en avance à nos clients qui aujourd’hui souhaitent des prestataires ayant le Mase. Cela nous a beaucoup apporté aussi dans notre procédure d’intervention, au niveau de la gestion des intérimaires, des prépa- rations de chantiers… C’est une certification que nous mettons en avant et qui fait partie intégrante de notre système SQE. »

Enfin, la société peut intervenir dans des situations difficiles. La dirigeante raconte une intervention exemplaire : « Un incendie s’est déclenché dans une usine en pleine nuit. On nous à demandé d’intervenir en urgence après le travail des pompiers. Nous avons alors mis en place une équipe en urgence, Puis nous avons sollicité l’ensemble de nos partenaires fournisseurs et fabricants pour répondre à notre besoin de pièces afin de faire redémarrer l’usine dans les plus brefs délais. Le pari à été tenu grâce à nos équipes, notre réseau et surtout le relationnel entre tous les participants (client-fournisseur-nous).»

Spécialiste de l’électricité industrielle auprès de grandes entreprises de Seine-Maritime et de Normandie, la PME familiale Abarnou diversifie ses activités dans la mise en place de bornes de recharge pour véhicules électriques.

Depuis bientôt trente ans, Abarnou est un partenaire fiable et réactif des installations électriques auprès d’industriels normands. Créée en 1992 par Olivier Abarnou, l’entreprise est dirigée, depuis 2003, par sa fille Ludivine qui perpétue le savoir-faire et l’expertise. « Notre cœur de métier, c’est l’électricité industrielle, de l’étude à l’installation neuve, la maintenance et l’entretien. Cela concerne le dépannage aussi bien que le déplacement d’une machine, la modification d’une installation ou encore sa mise aux normes»,explique la dirigeante. Avec des références comme Saipol (groupe Avril). Lincoln Electric ou Legrand, Abarnou se positionne comme un véritable partenaire dont l’expertise externalisée constitue la valeur ajoutée. « La taille de notre entreprise permet un véritable accompagnement, une proximité avec nos clients et ce, depuis de nombreuses années », commente Ludivine Abarnou-Hurel.

Bornes de recharge

Installée dans 600 m* de locaux flambant neufs en 2020, Abarnou poursuit son développement. « Le bâtiment à été construit pour nous permettre d’améliorer —nos process internes et mettre la qualité de vie au travail au centre des préoccupations», explique la dirigeante, qui peine à trouver de nouveaux talents pour renforcer ses équipes. Atelier de stockage, salle de câblage digitalisée : l’entreprise s’est modernisée pour répondre aux besoins de demain. D’ailleurs, elle développe un nouveau pôle d’activité dédié à l’installation de bornes de recharge pour véhicules électriques, à destination de ses clients industriels(pour leur parking privé et leur flotte) mais aussi pour les collectivités et les particuliers.

Ludivine ABARNOU, dirigeante de l’entreprise Abarnou, société de maintenance industrielle, a fait le choix de l’apprentissage en recrutant Bryan GUEROUT, issu du domaine de la restauration, en BTS Maintenance des Systèmes il y a 2 ans. Le recrutement de ce profil atypique s’est avéré être un choix gagnant pour l’entreprise !

Ludivine ABARNOU – Dirigeante de la société Abarnou

Pourquoi recrutez-vous des apprentis ?

L’apprentissage fait partie intégrante de l’historique de l’entreprise, nous pensons que c’est un bon moyen d’apprendre le métier. Je suis moi-même issue de l’apprentissage puisque j’ai réalisé ma formation en alternance dans une industrie.

C’est un moyen de recrutement qui nous plait et que nous estimons tout à fait efficace. Il était donc logique pour nous de recruter par cette voie, d’autant plus que, comme beaucoup d’entreprises, nous rencontrons d’énormes problèmes de recrutement sur nos métiers techniques.

Pour quelles raisons avez-vous sélectionné un profil atypique tel que celui de Bryan ?

Nous souhaitions embaucher un apprenti en BTS Maintenance des Systèmes et l’équipe du Pôle formation UIMM Rouen- Dieppe, connaissant notre entreprise, notre état d’esprit et notre fonctionnement, nous a proposé le profil de Bryan, qui sur le papier n’avait pas un cursus typique.

Bryan ne venait pas du monde de l’industrie mais avait suivi une Préparation Opérationnelle à l’Emploi Collective (POEC) de 3 mois et souhaitait poursuivre vers la voie de la maintenance en intégrant un BTS. Nous l’avons donc reçu en entretien afin qu’il nous présente son parcours et les raisons de son changement de voie. Bryan est quelqu’un d’agréable et s’exprime très bien, nous avons perçu qu’il était réellement motivé par sa réorientation.

Son âge a également joué puisque cela nous a permis de voir qu’il avait fait un point sur son projet professionnel et que cette réorientation était un choix mûrement réfléchi.
Nous n’avions jamais pris de profil atypique, et avons souhaité tenter l’aventure avec lui ! Et cela s’est si bien passé durant son BTS que nous l’avons récemment embauché en CDI.

Que vous apporte Bryan au quotidien et qu’apporte-t-il à l’équipe ?

De par sa personnalité et son âge, Bryan apporte une grande maturité. Il est profondément motivé et fait preuve d’une réelle implication en formation comme sur le terrain, et son dynamisme, sa soif d’apprendre et d’enrichir ses connaissances ont été moteur pour les équipes. Son recrutement nous a également permis de refaire ce lien avec l’apprentissage.

Referiez-vous confiance à un jeune en réorientation ?

Tout à fait, aujourd’hui cela fait même partie de nos critères de recrutement. Nous nous sommes rendu compte que les jeunes tels que Bryan, qui comme je le disais, ont fait un point sur l’évolution de leur carrière, font un choix de changement (parfois radical) mûrement réfléchi et sont donc très motivés.

D’ailleurs, comme cela s’est très bien passé avec Bryan, nous avons recruté d’autres profils atypiques, notamment une alternante au poste d’assistante RH venant du secteur de la petite enfance. Nous sommes totalement preneurs voire même demandeurs de profils en réorientation, c’est une réelle force pour notre entreprise.

Qu’est-ce qui vous a motivé à embaucher Bryan en CDI ?

Tout d’abord sa réussite, il a été 1er ou 2nd de sa classe durant ses deux années de BTS tout en sachant qu’il ne venait pas du secteur l’industrie, ce qui dénotait de sa motivation et son implication. Son savoir-être sur le terrain est également entré en ligne de compte, il avait ce petit plus par rapport aux jeunes issus de BAC PRO : sa façon de s’exprimer, son vocabulaire, sa prestance en clientèle…

Notre ambition de départ était de former des apprentis afin de les embaucher en CDI, nous ne nous sommes donc même pas posé la question ! Il était clair que, bien qu’avec la COVID-19 nous avons subi une baisse d’activité, nous ne voulions pas le laisser partir. Bryan avait également émis le souhait de rester chez Abarnou, d’évoluer, de prendre en responsabilités et c’est tout à fait ce que nous envisagions pour lui.

Bryan GUEROUT – Agent de maintenance, société Abarnou

Qu’est-ce qui vous a orienté vers le monde de l’industrie ?

Je suis issu du domaine de l’hôtellerie-restauration, j’ai également de l’expérience en commerce et vente, mais en effet l’industrie était un secteur qui m’était totalement inconnu. Je souhaitais me réorienter en reprenant mes études dans un domaine qui était inédit pour moi. Et étant donné que j’ai toujours aimé bricoler et que je suis assez curieux de la technologie et l’électricité, la maintenance répondait à ces différentes envies.

Qu’en retirez-vous dans votre quotidien ?

J’aime beaucoup mon métier et je n’ai aucun regret sur mon choix de réorientation, au contraire j’en suis très heureux puisque j’adore ce que je fais. Je ne m’ennuie pas, chaque jour et chaque intervention est différente. J’aime être stimulé intellectuellement et le métier d’agent de maintenance me permet de l’être quotidiennement.

Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Je souhaite, à court terme, gagner en expérience technique et par la suite en responsabilités. Ce qui est finalement petit à petit déjà le cas puisque je suis aujourd’hui amené à gérer seul certains chantiers, sous la direction de mes hiérarchiques bien entendu, mais avec plus d’autonomie.

Ludivine ABARNOU m’a également proposé d’intégrer la Commission SQE de l’entreprise afin d’encourager mon investissement. Mon objectif est donc d’évoluer en ce sens. Je dessinerai mon avenir selon les opportunités qui me seront proposées par mon entreprise.

Retrouvez ici notre article sur notre adhésion à la filière Normandie Maritime.

Vous souhaitez recruter des profils techniques motivés en alternance ?

Contactez notre équipe qui pourra vous proposer des candidats correspondant à votre besoin, dont certains auront suivi un parcours d’accompagnement Prépa
Apprentissage Industrie (PAI) de 3 mois et fait un choix d’orientation réfléchi à l’instar de Bryan.

Pourquoi intégrer la filière normandie maritime ?

Nous avons été contactés par la filière à l’occasion des RAN 2020 (Rendez-vous d’affaires de Normandie de la CCI).

On nous a proposé d’intégrer la Filière Normandie Maritime car nos métiers pouvaient correspondre aux besoins des ports normands, le levage, l’électrotechnique et les IRVE.

La Normandie représente un fort potentiel avec ses 600km de cotes et ses 34 ports et notre proximité est un atout c’est pourquoi nous avons accepté d’adhérer.

En savoir plus sur l’association Normandie Maritime

BORNES DE RECHARGE POUR VEHICULES ELECTRIQUES

Afin d’atteindre les objectifs réalisés par le gouvernement en matière du développement durable, l’augmentation des installations de bornes de recharge en France semblent inévitable. Aujourd’hui, il existe un peu plus de 30 000 points de recharge en France. D’ici 2022, la France prévoit une augmentation de 100 000 bornes.

Pourquoi opter pour la voiture électrique ?

Quelques chiffres clés :

12% des Français ont déjà essayé des voitures électriques

28% des Français sont prêts à acheter une voiture électrique au cours du mois prochain.

93% des Français pensent que la voiture électrique est innovante.

92% des Français pensent que la voiture électrique est respectueuse de l’environnement.

82% des Français trouvent que la voiture électrique est agréable à conduire.

Les avantages :

Choisir une voiture électrique, c’est avant tout faire un choix écologique. Le choix de ne pas émettre de ou  CO₂ ou d’autres polluants de l’air.

Leur utilisation n’alimente pas l’effet de serre ni, par conséquent, le réchauffement climatique. En s’équipant d’une voiture électrique, on améliore donc la qualité de l’air dans les villes et à proximité des routes. Son autre véritable atout : son silence. En effet, quand elle démarre et quand elle roule, la voiture électrique est quasi silencieuse.

Sans compter, que la voiture électrique est économique à l’utilisation. Un véhicule à essence ou diesel qui consomme théoriquement 5 l/100 km coûte entre 6 et 7 € de carburant par 100 km. Alors que les véhicules électriques actuels consomment théoriquement entre 13 et 25 kWh/100 km. Cela revient à un coût de 3,25 € à 6,25 € par 100 km.

Enfin, la voiture électrique est un véhicule demandant peu d’entretien. Leur système moteur étant simplifié par rapport à une voiture diesel ou à essence.

Pour trouver des bornes de recharge pour voitures électriques en France, n’hésitez pas à faire un tour sur Chargemap

Les bornes électriques LEGRAND installées par la société Abarnou

Récemment, notre société a obtenu la qualification IRVE ( voir l’article sur la certification ), permettant d’installer des bornes de recharge. On vous laisse admirer le résultat :

Nous sommes très fière de vous annoncer que nous avons obtenu une nouvelle certification, la qualification IRVE !

L’utilisation, au quotidien, de véhicules électriques nécessite de disposer d’infrastructures de recharge sûres et fiables. C’est de la mise en place de ces infrastructure dans de bonnes conditions de sécurité et de fonctionnement que dépendra pour une grande partie le succès du véhicule électrique.

A quoi sert la qualification IRVE ?

La mention IRVE (Infrastructures de recharge pour véhicules électriques) est obligatoirement associée à une qualification (ou qualification probatoire) dans les installations électriques ou dans l’éclairage public ou dans les branchements & réseaux. Elle permet l’installation de borne de recharge électrique et bénéficier d’une aide gouvernementale sur les installations.

Cette qualification permet de répondre au besoin de recharge de véhicules électriques, plus exactement à assurer la continuité du service, donc la fourniture d’énergie, tout en gérant intelligemment la consommation correspondante.

La gestion intelligente de cette consommation d’énergie a pour but de réduire l’impact environnemental de la recharge des véhicules électriques, en limitant :

● les pointes de consommation sur les maillons du réseau de distribution ;

● la production de CO2 occasionnée par la recharge en période de pointe.

… Continue reading

Retrouvez en bas de page, l’interview de Ludivine Abarnou, dirigeante de la SARL ABARNOU sur le dispositif numérique Conecto.

Notre société a été une des premières PME à entrer dans le dispositif Conecto. En effet, SARL ABARNOU  est une société qui a été crée en 1992, qui se veut dynamique et de son temps !

C’est pour cela, que nous avons testé ce dispositif afin de booster nos performances numériques.

Le dispositif Conecto, en quelques mots ?

L’objectif du dispositif est de connecter les entreprises au numérique. Aujourd’hui, le numérique est devenu un outil indispensable au quotidien et cela a un impact direct sur les entreprises et industriels. Néanmoins, le numérique n’est pas un outil inaccessible, bien au contraire !

C’est pourquoi, Conecto a mis en place différents services afin de répondre à ce besoin :

• Promouvoir les intérêts des entreprises industrielles
• Accompagner les entreprises au quotidien
• Répondre à leurs besoins en compétences
• Préparer l’avenir

En savoir plus sur le dispositif Conecto

Regardez notre article précédent sur la certification Mase

En savoir plus sur notre histoire

Le certificat MASE (Manuel d’Amélioration Sécurité des entreprises), qu’est-ce que c’est ? 

Dédié aux industriels, MASE est un système de management SQE (Santé Qualité Environnement). Ce système recherche à améliorer la sécurité en l’adaptant à l’entreprise. En effet, MASE est fondé sur l’organisation et la communication afin d’améliorer les conditions d’interventions des salariés. C’est aussi un référentiel, une base de réflexion qui permet à l’entreprise de mieux structurer sa démarche SSE en explorant les cinq axes préconisés.

Les objectifs 

La certification MASE a pour objectif de réduire les risques au travail, quelque soit l’activité de l’entreprise. Pour atteindre cet objectif, le référentiel implique de :

• Lister les risques et prendre des actions proactives pour les réduire
• Former et informer le personnel
• Mettre en place des indicateurs pour mesurer les incidents et accidents au travail
• Mieux connaître la réglementation
• En résumé mettre en place un système d’amélioration continue pour réduire les risques au travail

La certification MASE est composée de 2 parties principales qui fournissent à l’entreprise l’ensemble des informations nécessaires à la construction ou à l’amélioration de son système de management de la sécurité.

La première partie détaille les 5 chapitres constituant la certification MASE et en précise les fondements essentiels :

• L’engagement de la direction,
• La compétence et la qualification professionnelle du personnel,
• La préparation et l’organisation du travail,
• Les contrôles,
• L’amélioration continue

La seconde partie de la certification MASE fournit un ensemble d’annexes techniques reprenant conseils et aide à la décision de l’entreprise.

La société Abarnou est fière de vous annoncer : L’obtention du renouvellement de la certification MASE pour 3 ans !

Comment obtenir la certification MASE ?

L’attribution de la certification MASE par le comité de pilotage régional se fait après réalisation d’un audit confié à un organisme extérieur sélectionné. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site mase-asso

Retrouvez notre dernier article de blog sur les 100 ans de l’UIMM

Retrouvez toutes nos certifications obtenues sur la page certifications

Nous étions présents aux 100 ans de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie), le 27 mars 2018, au Kindarena  de Rouen. L’occasion d’évoquer l’avenir de l’industrie à l’échelle de la région Normande. Notamment, à propos des développements attendus par ses 150 adhérents qui accueillent 17 000 salariés.

L’UIMM, qu’est-ce que c’est ?

L’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) est la fédération patronale française regroupant les principales entreprises françaises dans le domaine de la métallurgie. En effet, l’UIMM est signataire d’accords collectifs permettant de couvrir un large domaine d’activité. À ce titre, 18 classes de la nomenclature d’activité de l’INSEE de 1973. Sont ainsi visés, des secteurs aussi variés que la sidérurgie et l’horlogerie.

Par ailleurs, depuis 2011, L’UIMM participe au financement du think-tank « La Fabrique de l’Industrie ».

Ce qu’on retient de l’évènement :

1.Un recrutement en hausse

Dans des domaines tels que l’aéronautique, le ferroviaire, l’électronique et l’automobile ; entre grands donneurs d’ordre, équipementiers, sous-traitants et prestataires, la métallurgie est multiple, se développe et embauche.

L’idée de mutualiser les besoins des adhérents ont été évoqués et d’y trouver des solutions ensemble. Par ailleurs, il y a une aide au recrutement de salariés provenant d’un bac pro ou BTS mais aussi pour des salariés plus expérimentés sortant d’une formation en alternance ou d’une formation continue.

L’objectif étant de re-dynamiser l’industrie via différentes techniques afin de valoriser les carrières. Beaucoup d’entreprises se sont d’ors et déjà, mis aux réseaux sociaux afin de recruter.

2. L’amélioration de l’écosystème

Différents exemples ont pu être abordé, notamment, sur l’aspect ambassadeurs des entreprises sur les futurs salariés. Il y a une véritable volonté de mettre en avant la région Normandie, l’écosystème autour des entreprises, des possibilités de formations, de développement, d’agilité.

Ainsi, avec Conecto, outil de diagnostic et de préconisations numériques, la métallurgie ne doit pas passer à côté de la révolution digitale.

Concernant notre société, nous avons recourt très souvent à l’apprentissage, pour cela nous misons sur les réseaux sociaux afin de recruter. Lorsque nous recrutons des alternants nous allons bien plus loin qu’une simple formation, nous souhaitons leur apporter aussi la mobilité, le savoir-être en entreprise.

Retrouvez notre dernier article sur Metya

On vous laisse découvrir l’article du Paris-Normandie : http://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/uimm-rouen-dieppe–100-ans-d-une-industrie-en-recomposition-FF12538951